Défendre des victimes et des auteurs : la double casquette de votre avocat routier qui présente nombre d’avantages

Maître Régley défend à la fois les victimes des accidents de la route et les auteurs des accidents de la route. Une double casquette qui apporte des avantages précieux dans les deux situations, ce que nous allons détailler ci-dessous.

Avocat routier dans la défense des victimes.

Depuis plusieurs années, maître Antoine Régley défend et représente un nombre très important de victimes d’accident de la route, à Lille, et partout en France.

Lors d’un procès pour blessures involontaires ou homicide involontaire / homicide routier, l’avocat des victimes de la route n’a pas pour mission première de proposer une peine pour l’auteur. C’est le travail et la mission du Procureur de la République. Évidemment, cela n’empêche pas de porter la voix des victimes et de dire tout ce qu’elles pensent au prévenu. Cela ne prive pas l’avocat des parties civiles de mettre l’auteur en difficulté s’il devait présenter une défense maladroite ou portant grief aux familles.

Être avocat en droit routier à Lille dans la défense du permis n’empêche pas, non plus, de bien défendre les victimes. Au contraire… Connaître les arguments de la défense ou les stratégies de l’assurance est un avantage. Il permet à l’avocat des victimes de tout anticiper pour mieux contrer.

Et puis, contrairement à une idée conçue, le vrai adversaire des victimes et de leurs familles, dans le cadre d’une procédure d’indemnisation, c’est plus l’assurance que l’auteur. Celui qui va contester ce dont les victimes ont besoin (aide matériel, aide humaine, ne pas subir de préjudice financier, etc.), c’est l’assureur. Pas l’auteur. Celui qui va tenter de faire croire à une faute de la victime pour moins l’indemniser ou ne pas lui vers­er le moindre centime, ce n’est pas l’auteur. C’est l’autre. Bref, si l’auteur est un « ennemi » émotionnel, l’assureur est le véritable adversaire juridique et procédural.

Il n’est pas donc, en rien, contradictoire, de défendre le permis et les victimes.

Pour aller encore plus loin, non seulement l’avocat routier du permis n’est pas l’ennemi des victimes – rappelons que l’on ne défend pas les actes mais les gens – , mais bien un allié des parties civiles qu’il peut défendre, lorsqu’il change de casquette. En effet, dans nombre de dossiers, l’assurance oppose une faute à la victime pour réduire son droit à indemnisation de manière très importante. Pour le payeur, c’est le meilleur moyen de faire baisser la somme à régler. Ces fautes opposées sont des contraventions ou des délits. Qui est bien placé pour faire annuler ces infractions ? Les contraventions font foi jusqu’à preuve du contraire selon le code de procédure pénale. Pourtant, on ne compte plus le nombre de fois où maître Régley a réussi à les faire annuler pour des questions juridiques. Dans ces dossiers-là, la double casquette est un avantage incomparable, au profit des blessés ou des familles, qui évitent d’être victimes une seconde fois.

Aussi, être l’avocat routier du permis de conduire n’empêche-t-il pas de bien défendre les victimes. Et représenter ces dernières ne vient pas, pour autant, représenter le moindre danger pour ceux qui remettent leur permis, leur travail ou leur vie quotidienne entre les mains de maître Régley.

Vous retrouverez les résultats de maître Antoine Régley, avocat préjudice corporel Lille, ainsi que de nombreuses explications et passages dans les médias, sur le site internet qu’il dédie aux victimes d’accidents de la route : https://www.avocat-accident-regley.fr.

Avocat routier dans la défense des auteurs>

Maître Antoine Régley a fait de longues études de droit pénal. Il est devenu avocat pour lutter contre toute source d’injustice, d’abord, raison pour lesquelles il aime tant défendre les victimes. Mais aussi pour se tenir debout aux côtés de ceux qui sont accusés de faits qu’ils ont commis ou non.

Maître Antoine Régley est bien plus passionné de droit de la route que d’automobile. Il ne plaide pas pour que les routes soient toujours plus rapides, ou pour avoir le droit de consommer des stupéfiants ou de l’alcool avant de prendre le volant. Il sait, en père de famille, combien la route peut être dangereuse. Il ne défend donc pas le permis ou les auteurs par amour des risques que certains prennent. La matière pénale routière est très complexe. C’est cette complexité qui plaît intellectuellement à maître Régley. L’amour du droit d’abord. Et défendre aussi.

Défendre, ce n’est pas excuser. Défendre, ce n’est pas justifier. Cela peut, en revanche, permettre d’expliquer. Qui, accusé d’avoir commis une faute ou non, ne crierait pas à l’injustice de ne pouvoir présenter ses explications ou ses excuses ? Qui accepterait, alors accusé, de n’avoir pas le droit de se défendre. Quand on se défend, on n’attaque personne. On essaye de limiter les conséquences. Pas pour donner le droit de recommencer. Parce que l’on croit dans l’autre. Parce que l’on a foi dans l’humain. Défendre, c’est aussi faire du droit. Et si le dossier ne révèle pas que l’infraction reprochée est caractérisée, que devrions-nous faire ? Ne rien dire ? Faire semblant ? Quand la justice exige de nous tous de l’exemplarité, ne devons-nous pas attendre d’elle la même chose ? Quand la police applique la loi, ne devrions-nous pas attendre d’elle qu’elle soit la première à le faire ?

La défense des auteurs n’est pas l’attaque des victimes.

Et puis, bien souvent, l’avocat de la défense peut aussi venir, indirectement, au soutien d’une victime. Maître Régley connaît bien les souffrances de ces dernières. Aussi, quand bien même devrait-il plaider en faveur d’un auteur, il sait ce que les accidentés attendent d’un procès. Ainsi, il peut permettre à un auteur de présenter de sincères excuses quand celui-ci ne l’aurait pas fait sans son aide. Ainsi, tout en se défendant, il empêche l’auteur de dire des mots qui blesseraient les victimes. Ainsi, il peut expliquer que telle ou telle position est inenvisageable. Être défendu, quand on est auteur, par un avocat qui connaît bien les victimes, est l’assurance de ne pas blesser ou tuer une seconde fois par des mots malheureux ou des comportements catastrophiques, que le tribunal aurait sanctionnés.

Si maître Régley défend les victimes avec cœur, il assiste les auteurs avec humanité.

L’humanité et l’amour du droit routier le guident en défense. Le cœur et le combat contre l’injustice le guident en partie civile.